Manif, manouche (PV Hibiki et Toriel)

ALLER UNDYNE, LAISSE MOI T'AIDER DANS CETTE AFFAIRE. Disait t'il pendant que Undyne le poussait avec force mais gentiment vers la sortie du commissariat de la garde royal.

Papyrus, je te l'ait répété cent fois, cela ne concerne que la police humaine et nous cette affaire, je ne peut pas t'en dire plus, et aussi, tu ne doit pas t'occcuper de ton...caillou de compagnie?

WHOPSIE DOPSI! TU A RAISON, DANS SE CAS LA JE REVIENDRAIT DEMAIN SANS DOUTE, A DEMAIN!

Papyrus avait entendu parler de l'affaire qui avait secoué la ville quelque jour plus tot, une attaque sur un bâtiment officiel par un groupe inconnu ainsi qu'une nouvelle machine protégeant la ville, sa devait être cool de collaborer a cette affaire mais même Undyne ne pouvait rien dire a son ami en raison de la profondeur de l'affaire.

Malgré une petite déception, il marcha avec le sourire dans les rue de la capitale, jusqu’à entendre des cris d’indignation venant de la place central des gens avec des banderole et des panneau hurlait quelque chose mais trop fort pour que Papyrus comprenne, il était arriver dans le dos des manifestant, il ne voyait pas se qu'il y avait écrit sur les panneau, il se contenta juste de parler haut et fort pour que la foule entende.

WHOOWIE! SE QUE VOUS FAITE LA MA L'AIRE D’ÊTRE TRÈS INTÉRESSANT, JE PEU ME JOINDRE A VOUS?

Est-ce que c'est vraiment étonnant qu'Hibiki fasse partie des manifestants ? Il faut dire qu'il était jeune, et le paraissait encore plus avec sa taille et sa petite tête ronde. De quoi complexé si cela n'était pas un avantage : quoi qu'il se passe, les médias seraient de son côté. Ce n'est "qu'un enfant" après tout ! Aller dans une manif, sans même qu'il sache pourquoi elle avait lieu, ce n'était pas risqué pour lui : et il était même assez bienvenue dans ce groupe, les coups de gueule c'est toujours mieux à plusieurs. Voilà pourquoi il était ici. Sa raison. Et cela l'amusait plutôt bien, de se plaindre à qui veuille bien l'entendre. Et ça faisait plaisir de savoir qu'autant de gens partageaient ses opinions....

En faites, il s'en fichait un peu, mais bref, revenons à nos moutons : et à la situation actuelle. Un squelette qui débarque, demandant bien fort de les rejoindre. Les monstres sont stupides, bien plus stupides que ce qu'Hibiki aurait pensé. Le pire c'est qu'il avait attiré l'attention de tout le monde : la foule pausa leurs cris et plaintes, se retourna vers le nouveau venu en silence, personne ne sachant trop comment réagir pendant quelques instants. Certains explosèrent de rire, se moquant même ouvertement du squelette - Hibiki en faisait parti.

Les autres étaient indignés, prenant sûrement l'acte du squelette comme une moquerie face à leur "noble cause", et le firent savoir à coup d'insultes et d'autres désignations sympathique dans le genre. Le bon gros bordel, quoi. Ah, qu'est-ce que c'est fun, les manif~ Mais maintenant que ce fou rire lui était passé, le lycéen ce dit que ce n'était pas assez. Il sorti tant bien que mal de la foule, cherchant un autre monstre du regard. Allez, ils doivent bien avoir un peu de camaraderie, quoi ? Un camarade en... Assez mauvaise posture (certains humains ne tarderait pas à se mettre au cailloux, Hibiki en était sûr)... Il y en aura forcément un pour l'aider. O-bli-gé.

Puis il l'a vue. Une chèvre. LA pièce manquante sur l'échiquier de l'anarchie et du bordel le plus total. Qu'est-ce qu'elle faisait ici, il en savait rien. Il s'en foutait totalement. Si ça se trouve, elle passait juste par là et n'avait encore aucune idée de ce qu'il se passait. Pas grave, elle le découvrira bien assez vite. Hibiki la pointa du doigt, et parla bien fort - attirant l'attention cette fois vers lui et arrêtant l'acharnement envers le squelette un petit moment.

" - Hé, regardez qui se ramène à la rescousse de son ami ! "

Héhé, ça allait être drôle.

Toriel sortait tout juste de l'école, sa sacoche remplie de copies d'élèves, des rédactions a corriger pour le début de la semaine prochaine. la journée c'était bien passé, Elle était satisfaite et rentrait chez elle tranquillement. Mais pour se faire, elle devait traverser la place centrale et ce jour la, celle ci était très encombrés d'humains portant des pancartes. La dame chèvre ne mit pas longtemps a comprendre qu'il s'agissait d'une manifestation anti-monstre, mais alors qu'elle s'approchait, elle remarqua papyrus qui était au milieu. Elle pressa alors le pas, déposant au passage sa sacoche en sûreté sur un banc et en arrivant a la hauteur du Squelette, elle lui dit avec une inquiétude non dissimulé

- Papyrus ! ces humains ne sont pas la pour faire ami-ami!

Elle fonca tête baissées dans la masse hurlante, ignorant les injures y comprit les moqueries d'un des plus jeunes manifestants, un enfant, qui aurait pu être dans une de ses classe de collèges et qui visiblement partageait la vision des humains présent. Toriel continua donc d’avencer vers le grand squelette jusqu’à pouvoir lui prendre le bras et entreprit de l'éloigner doucement du groupe d'humains qui comencaient a montrer des signes  d'agressivité

- Viens, il faut s'en aller...

Après les crachats, elle sentit un projectile non identifié, mais très certainement un caillou la heurter a l'arrière de la tête, suivit de l'hilarité générale, ainsi que du  cri de victoire du lanceur:  

- Head Shot !!!

Par réflexe, elle  porta la main a l'arrière de son crâne et constata une légère écorchure a l'endroit de l'impacte, cela la forca a presser le pas, entraînant Papyrus avec elle. Une fois a l'écart de la manifestation, elle s'arrêta un peu et se mit face a papyrus pour s'adresser a lui sérieusement:

- Papyrus... les humains ne sont pas tous prêt a nous accueillir parmi eux et ceux qui ne désirent pas notre présence peuvent se montrer dangereux... Il y a même en enfant dans la manifestation...  

Il était d'ailleurs fort probable que ce dernier les ait suivit, il semblait plutôt dégourdis dans son genre

Bizarrement, le petit monde se retourna pour regarder qui leur avait parler, et il se sont mis a rire tous ensemble, avant de dire un vocabulaire que Papyrus ne comprenait pas, c'était sans doute une manière de dialoguer des humains comme celle des Temmies, quelqu'un lui attrapa bras, il s’agissait de la reine.

- Viens, il faut s'en aller...

D'ACCORD, VOUS AVEZ QUELQUE CHOSE A ME DIRE?

ET elle l’entraîna plus loin dans une ruelle, puis elle s'arreta avant de le regarder de face dans ses orbites.

- Papyrus... les humains ne sont pas tous prêt a nous accueillir parmi eux et ceux qui ne désirent pas notre présence peuvent se montrer dangereux... Il y a même en enfant dans la manifestation...  

BOF, TU SAIS IL SUIS SANS DOUTE SES PARENTS, IL FAUT JUSTE LEUR MONTRER LE DROITS CHEMIN,ATTEND UNE SECONDE SI IL TE PLAIT.

Il ferma les deux cotés de la ruelles avec des barrières épaisse d'os, histoire d’être tranquille si des manifestants arrivait, il ne se rendit juste pas compte qu'une personne de plus était avec eux.

UN JOUR TORIEL, QUELQU'UN DE SAGE A DIT QUE TOUT LES CONFLITS PEUVENT SE RÉGLER PAR LA PAROLE,CELUI LA N’ÉCHAPPE PAS AU RÈGLE, IL SUFFIT DE LEUR PARLER ET JE PENSE QUE LE PROBLÈME SERA RÉGLER, IL Y A SANS DOUTE UN KIPROKO.

Hibiki ne s'était pas trompé, et la chèvre était aller aider le squelette. Peut-être même qu'ils se connaissaient, l'adolescent avait cru l'entendre dire un nom, mais avec le bruit ambiant aucun moyen d'être sûr. Puis ce n'était pas vraiment important, maintenant ils s'éloignaient, et après quelques projectiles et insultes la plupart des manifestants allaient en rester là. Sauf les plus bornés, évidement. Comme Hibiki, d'ailleurs, qui avait décidé d'aller les suivre par curiosité.

L'avantage du squelette, c'était qu'il parlait fort, et donc il pouvait entendre une petite partie de la conversation sans être trop près. Pour le reste il n'avait qu'à déduire. Visiblement, le squelette ne l'avait pas vu et... Wah, des os ?! Hibiki avait eu du bol, un peu plus et il se retrouver derrière ou sur la barrière qu'ils formaient ! A croire que les monstres ne sont pas aussi stupide qu'il le pensait... Bien qu'ils le restait sacrément quand même. Les autres manifestants ayant chercher à suivre le duo abandonnèrent face à la barrière, de ce qu'Hibiki entendait.

Des fois, les humains étaient pas mieux, remarque. Enfin, Hibiki supposait que tout le monde ne pouvait pas être aussi intelligent et parfait que lui... Bref, peu importe, maintenant s'il souhaiterait faire demi-tour il ne pouvait pas, il était coincé, alors autant faire savoir sa présence. Il allait faire comme si de rien n'était, et voir comment la situation allait évoluer... Et évidemment, la première chose qu'il fit une fois assez près du groupe, c'est de se plaindre.

" - Hé ! Faites gaffe avec vos os en pleine rue, c'est dangereux ! J'ai failli m'en prendre un, moi ! "

Toriel écouta les dire de Papyrus et quelque part, cela lui faisait mal. Le grand squelette ne voyait pas le mal et cette innocence l'aurait pousser a se mettre en danger si elle n'était pas intervenue juste a temps avant que les manifestants n'en viennent aux mains, le cailloux qu'elle s'était prit témoignait de la violence dont les humains en colère pouvaient faire preuve lorsque la cible de leur rejet se tenait face a eux. Elle lui dit calmement:

- Je sais Papyrus, mais dans ces conditions, ils ne sont pas en mesure de changer d'avis a notre sujet. nous sommes deux, ils sont plueirus dizaines a deverser leurs haine a notre égare. On se mettrait en danger en tentant de les raisonner. Quand a ce qu'ils disent, ce n'est pas des mots que l'on entends dans une conversation polie

Elle le laissa bloquer l’accès a la ruelle, ayant confiance dans les intentions pacifiques du grand squelette, qui étaient sans aucun doute l'un des monstres les plus inoffensif qu'elle connaissait. En revanche, cela la rendait particulièrement protectrice envers son ami,voire même un peu trop sans doute... Elle se retourna surprise lorsque le jeune humain les interpella, ayant visiblement pu passer avant que Papyrus ne créer la barrière d'os. Il lui reprocher d'avoir faillit le toucher. Toriel soupira et dit calmement:

- Sauf que tu n'as pas été touché, Papyrus n'a fait qu'assurer notre sécurité face a tes semblables qui eux n'auraient sans doute pas hésiter a nous frapper si on ne s'était pas éloigner d'eux. Et toi, est-ce qu'on peut savoir ou sont tes parents ? ils doivent certainement te chercher, tu devrais retourner auprès d'eux

- Je sais Papyrus, mais dans ces conditions, ils ne sont pas en mesure de changer d'avis a notre sujet. nous sommes deux, ils sont plusieurs dizaines a deverser leurs haine a notre égare. On se mettrait en danger en tentant de les raisonner. Quand a ce qu'ils disent, ce n'est pas des mots que l'on entends dans une conversation polie.

IL SUFFIT JUSTE DE SE MONTRER PLUS FORT QU'EUX, PAS PHYSIQUEMENT BIEN SUR, MONTRER QUI SONT LES MONSTRES POUR LE MOMENT ,IL SE CALMERONT SANS DOUTE ET ENSUITE, ON POURA PARLER RAISONNABLEMENT.

" - Hé ! Faites gaffe avec vos os en pleine rue, c'est dangereux ! J'ai failli m'en prendre un, moi ! "

Il s'agissait d'un jeune garçon, petite taille, cheveux d'une couleur sombre, tète malicieuse, un gosse n'ayant pas fini sa maturité.

- Sauf que tu n'as pas été touché, Papyrus n'a fait qu'assurer notre sécurité face a tes semblables qui eux n'auraient sans doute pas hésiter a nous frapper si on ne s'était pas éloigner d'eux. Et toi, est-ce qu'on peut savoir ou sont tes parents ? ils doivent certainement te chercher, tu devrais retourner auprès d'eux

C'EST VRAI CA, SI TES CAMARADE AURAIT ÉTÉ PLUS CALME, JE N'AURAIS PAS BESOIN DE LE FAIRE, COMME LA DIT UN JOUR QUELQU'UN "L'HOMME EST UN LOUP, POUR L'HOMME". ET PAS "L'HOMME EST UN LOUP POUR LE MONSTRE".

D'un claquement de doigts, deux des os de la barrière s'enlevèrent, laissant libre court au jeune homme de partir si il le désir, évidement ,il se tenait près a le refermer si la foule revenait.

SI TU N'A PAS ENVIE DE TRAINER AVEC NOUS,(BIEN QUE TRAINER AVEC MOI EST LA MEILLEURS EXPÉRIENCE DU MONDE) TU PEUT TOUJOURS PARTIR, SI ON TE DÉGOUTE A SE POINT, MAIS J'IMAGINE QUE TU NOUS A SUIVIS POUR UNE BONNE RAISON NAN?

Papyrus. Donc cet imbécile de squelette s'appelait Papyrus ? Et bien, et bien, les monstres devaient vraiment manquer d'idée pour se nommer à partir de police d'écriture... Ou de papier ? Après tout, est-ce qu'ils avaient des ordinateurs, dans l'Underground ? Et si oui, les mêmes polices d'écritures que celles de la surface ? Tant de questions à se poser, mais ce n'était pas le moment de penser à ça. Hibiki prit l'air boudeur quand ses parents furent mentionnés, jetant un regard noir -pas très convainquant- à la chèvre.

" - Mes parents ont rien à voir là dedans, je suis au lycée quand même, je peux me balader seul où je veux, moi. Puis... "

Il sembla réfléchir très très fort à la suite de sa phrase. La citation de Papyrus l'avait perturbé et il avait oublier ce qu'il voulait dire, c'est malin...

" - Rah, de toute façon peu importe si c'est pour la défense, boucher la voix publique c'est pas légal ! "

Et paf ! Ces monstres devaient même pas être au courant de la loi, d'abord. Parce qu'ils sont bien gentils à se ramener en touriste et utiliser leurs pouvoirs, sauf que rien ni personne ne leur a dit qu'ils ont le droit. Et non, le fait que certains humains peuvent faire pareil, c'est pas un argument ! Bon, venant d'un garçon accusé d'avoir mit le feu à son collège, c'était un peu l'hôpital qui se fout de la charité, maiiiis...

" - Si je vous suis, c'est pour vérifier que vous faites rien de louche, d'abord ! Bande de monstres ! Nah ! "

Parce que tirer la langue aux deux monstres montrait bien qu'Hibiki était assez mature pour que ce soit une excuse valide. Oui. En tout cas, il était assez clair qu'il ne les aimait pas beaucoup, c'était toujours ça de sûr...

" - Si ça se trouve vous prépariez une contre-attaque pour vous vengez, pas vrai ? "

Toriel écouta les dires de papyrus et lui sourit, le regardant:

- bien sure qu'ils se calmerons et qu'ils finirons par s'habituer a nous, c'est sure et certains. mais dans ces conditions, ils subissent ce qu'on appel l'effet de groupe.  Pour le moment, il nous sera impossible de les faire changer d'avis. c'est le genre de situation ou il est préférable de fuire pour notre sécurité

Elle regarda ensuite le neune garcon et écouta ce qu'il avait a dire, celui ci argumentait par rapport a la légalité ou non de bloquer la voie publique avec des os. La dame chèvre soupira, cherchant comment expliquer cela au jeune humain et finit par dire calmement:

- et lancer des cailloux sur des personnes différente en les insultant, tu crois que c'est légale ? on appelle cela de la discrimination. Ce n'est pas légale non plus et cela peut faire beaucoup de mal

Elle continua malgré tout de l'écouter, comme elle le ferai avec un élève difficile. Il fallait faire preuve de patience et surtout ne pas perdre son calme, quelque soit les circonstances. Le jeune homme disait les suivre pour être sure qu'il ne fassent rien de louche. soit, admettons. Toriel demanda alors toujours aussi calmement:

- et que veux tu que l'on fasse de louche ? pour ma part, je rentrait tranquillement chez moi lorsque j'ai vu mon ami prit dans cette manifestation. Je n'ai fait que l'en éloigner pour assurer sa sécurité, et n'avions pas l'intention de tenter quoi que ce soit contre ces humains si c'est ce qui t'inquiète. Pour ce qui est de la contre attaque, nous n'aurions aucun intérêt a le faire, et personnellement, je n'ai aucune envie de déhancher une nouvelle guerre. Papyrus quand a lui espérait juste se faire de nouveaux amis, il ne ferai pas de mal a une mouche tu peux me croire

" - Si ça se trouve vous prépariez une contre-attaque pour vous vengez, pas vrai ? "

La réflexion du jeune lycéen fit pouffer de rire Papyrus, alors la c’était là meilleur, mème lui qui ne rigolait pas souvent (la faute à Sans), il ne put se contenir de l’hilarité de la phrase, après quelque minute de fou rire été son non-estomac le suliant d’arreter, il se calma avant de lui répondre après Toriel.

haha...ALORS LÀ J’EN AIT ENTENDU DES BÉTISES, MAIS AUCUNE ME FAISANT RIRE AINSI, À QUOI ÇA SERVIRAIT DE NOUS BATTRE DE TOUT FAÇON,ON A SE QU’ON VOULAIS ICI SANS GUERRE, LE SOLEIL, LE VENT, LES AMIS, ET PUIS LANCER UNE GUERRE A DEUX, NON MAIS ALLÔ QUOI! *il se remet à rire*

Il tomba de rire dans les bras de Tori qui allait devoir le tenir un peu le temps que son fou rire passe, là son non-esomqc allait lui faire regretter.

Hibiki soupira : décidément, ça allait être une longue journée. Mais il se ressaisi rapidement, et se mit à sourire. Autant assumer le rôle de gamin jusqu'au bout, que voulez vous ? Généralement, c'était le moyen le plus simple pour ennuyer les gens. Et évidemment que si ces deux finissaient par s'énerver, il n'hésiterait pas à jouer les victimes et rajouter de l'huile sur le feu du côté des anti-monstres. C'est Hibiki, après tout. En tout cas, maintenant, il devait attendre que l'imbécile de monstre squelette se calme pour espérer reprendre la parole. Ils connaissent pas le respect ou quoi ? Attendez, venant de lui, ce n'est pas une remarque très crédible...

" - Bah, je suppose que je ne pouvais pas m'attendre une conversation intéressante avec des créatures comme vous... Z'êtes des monstres, c'est une raison suffisante pour vous considérer comme louches, faut réfléchir de temps en temps !"

Il disait comme si c'était un fait scientifique totalement prouvé et connu de tous, sans oublier de les prendre de haut évidemment. Il commençait à penser que la chèvre devait être habituée au gosse pour ne pas vraiment réagir de la manière qu'il souhaitait, et il supposait que pour le squelette il devait être trop stupide. Du coup, il devait changer de plan.

Toriel semblait jauger le jeune garcon du regard, tendit que papyrus lui riait. La dame chèvre elle restait calme, de la patience, elle en avait a revendre.  Les fortes têtes finissaient toujours par se lasser des provocations en voyant qu'il n'y avait pas ou peu de réaction de la part de l'interlocuteur. Laissant le squelette rire a son grès, pouffant même un peu de rire au bout d'un moment, a croire que cela était contagieux, puis écouta encore le blabla de Hibiki, puis le questionna par la suite, voulant voire jusqu’où celui ci serai capable d'aller dans ses propos anti-monstre:

- Je vois... dans ce cas, je suppose que tu n'aura rien contre le fait de nous instruire mon ami et moi. Après tout, tu n'as pas torts, nous avons des générations de retards par rapport a vous. Alors nous t'écoutons, montre nous ce qu'est selon toi une conversation intéressante, j'avoue être très intriguée .


Elle souriait, restant maîtresse d'elle même. Le jeune anti-monstre qui leurs faisait face ne serai pas le premier a vouloir tester sa patience... Quand a papyrus, elle ne se faisait pas de soucis concernant sa réaction, en revanche, elle  se préparait a devoir le défendre  lui et les autres monstres contre les préjugés de jeune homme, se doutant que certains seraient peut être cruel

" - Bah, je suppose que je ne pouvais pas m'attendre une conversation intéressante avec des créatures comme vous... Z'êtes des monstres, c'est une raison suffisante pour vous considérer comme louches, faut réfléchir de temps en temps !"

Vraiment, a force de dire des bêtises pareil, e gosse allait finir anti-monstre pour toujours, il fallait essayer de lui faire changer d'avis.

- Je vois... dans ce cas, je suppose que tu n'aura rien contre le fait de nous instruire mon ami et moi. Après tout, tu n'as pas torts, nous avons des générations de retards par rapport a vous. Alors nous t'écoutons, montre nous ce qu'est selon toi une conversation intéressante, j'avoue être très intriguée.

Il avait compris ou allait Toriel ,se montrant patiente pour démentir ses propos un par un. Papyrus allait essayer aussi, pas si idiot que ça le squelette.

J'AIT HÂTE D'ENTENDRE DES PROPOS JUSTE ET VERIDICT SORTANT DE TON OSTIUM. (BOUCHE EN LATIN)

Hibiki sembla réfléchir, croisant les bras et ayant l'air exagérément perdu dans ses pensées pendant quelques instants. Parce que là, c'était sa patience qui allait commencer à s'épuiser, et ce n'était absolument pas le but, bien au contraire. Ne panique pas, Hibiki, tu gère. Certes les monstres restaient sur leur position, et devait penser des trucs stupides comme "on va le faire changer d'avis" et d'autres trucs stupides dans le genre, mais ce n'était qu'une question de temps avant qu'ils comprennent qui est le patron ici !

" - Hmm... Ce serait vraiment vous accorder trop d'importance, mais je suppose que dans ma ô grande bonté je peux vous le démontrer... Attendez un peu ! "

Parce qu'en vérité, non, il n'avait aucune idée de comment démontrer ce que serait une conversation intéressante, ni n'aurait l'envie de le faire, mais jamais ô grand jamais il ne reconnaîtrait que lui, Hibiki, était dans une impasse et n'avait plus rien à dire. Ce pourquoi il recula de quelque pas et se mit à crier, d'un coup, comme si il venait d'être agressé... Ce qui était un peu le but recherché en même temps. Après tout, c'était injuste ils étaient deux monstres et lui était tout seul ! Il devrait bien rester un manifestant dans le coin pour lui prêter main forte, non ?

Et y'avait pas trente-six moyen d'en attirer un par ici. Au pire, il aura qu'à dire que c'était pour leur faire une démonstration si éventuellement ça ne marchait pas. Parce qu'il se voyait mal faire une discussion intéressante avec un de ces... monstres, rien qu'y penser le dégoûtait intérieurement, hors de question qu'il se mette au même niveau qu'eux, et parler à lui-même ne l'enchantait pas vraiment.

Toriel attendait également de voire comment le jeune humain allait s'en sortir mais ne s'attendait certainement pas a ce qui allait suivre. En effet, lorsque le jeune homme c'était mis a crier. En pensant qu'il s'était fait mal, Toriel paniqua et s'approcha de lui, essayant de le questionner sur ce qui n'allait pas au moment ou elle se sentit brusquement tirée en arrière et progeté au sol par un humain, sans doute l'un des manifestant anti-monstre restant qui la plaquait au sol, s'adressant a Hibiki

- Sauve toi p'tit gar, je la retiens !!!

Toriel essayait en vain de se débattre alors que l'homme la maintenait au sol avec une clef de bras. Voyant qu'elle ne faisait pas le poids face a l'humain, elle tenta de lui expliquer sa version, comme quoi Hibiki s'était mis a crier et qu'elle pensait qu'il avait mal quelque part, mais c'était peine perdu, l'humain ne semblait pas disposer a croire un monstre et reserra sa prise sur Toriel pendant qu'une femme, surement celle de l'homme qui retenait Toriel s'avencait gentiment vers Hibiki et le prit gentiment par les épaules

- Aller, mon petit, ca va aller. Dit moi ce que ces deux vilaines anomalies t'on fait ?  est-ce qu'ils t'on frapper ? Il ne t'on pas voler ton âme au moins ?

Sérieusement, il était en train de courir en hurlant, il n'avait fait rien de mal pourtant, Toriel essaya de lui demander pourquoi mais un humain avait maîtriser la pauvre innocente au sol. Sans doute d'autre manifestant.

- Sauve toi p'tit gars, je la retiens !!!

EH OH! ELLE NA RIEN FAIT DE MAL, CECI EST UN ÉNORME MALENTENDUS!

Encore un autre humain, certainement la femme de l'homme, elle pris le jeune humain par les épaules.

- Aller, mon petit, ca va aller. Dit moi ce que ces deux vilaines anomalies t'on fait ?  est-ce qu'ils t'on frapper ? Il ne t'on pas voler ton âme au moins ?

CA DÉPEND DU POINT DE VUE, POUR MOI VOUS ETES ANORMAL DE RETENIR MON AMIS AINSI ALORS QUEL NA ABSOLUMENT RIEN FAIT, JE TROUVE ANORMAL AUSSI DE TELLE MÉTHODE, LA PAROLE ET LA DISCUSSION EXISTE VOUS SAVEZ? ET QUAND A SON ÂME, SI ON L'AURAIT PRISE? IL NE SERAIT SANS DOUTE PAS LA EN TRAIN DE HURLER POUR JE NE SAIS QUEL RAISON, SANS DOUTE DU RACISME ANVERS NOUS PEUT ETRE QUI SAIS, AVEC LA MAUVAISE IMAGE QU'ON DONNE DE NOUS!

Pap's, tu a peut être trop parler, il ne plaisante plus la, ton amis est au sol et toi tu débat, se serait le genre de situation ou la force marche mieux que...

AUSSI, PEUT ETRE SE SERAIT LA FAUTE A VOTRE COMBAT INUTILE CONTRE NOUS?

La chèvre alla vers lui. C'était mieux qu'il aurait pu espérer, puisqu'un adulte débarqua et lui fit une espèce de prise de kung-fû -du moins du point de vue d'Hibiki. Ce dernier prit les jambes à son coup, comme on le lui avait demander, rejoignant une femme qui il présumait devait être avec l'homme. C'était parfait. Visiblement, la chance était en sa faveur aujourd'hui ! Hibiki se mit a semble t-il pleurer, serrant la dame dans les bras presque aussitôt.

Si ça se trouve, c'était une façon de cacher le large sourire qu'il devait avoir sur le visage : c'est qu'il était sacrément fier de son coup. Même s'il n'y avait aucune preuve pour dire que quoi que ce soit s'était réellement passé, la situation ne s'arrangerait que difficilement, les deux nouveaux arrivants semblant peu enclin à la discussion. Et si la situation venait à empirer, éventuellement, ça pourrait partir très loin. Ce qui l'arrangeait clairement, un peu d'action dans sa vie monotone, ça ne pouvait lui faire que du bien !

Hibiki laissa le squelette faire sa tirade, de tout manière il avait assez confiance en son jeu d'acteur pour penser que la situation ne tournerait pas en sa défaveur, peu importe ce qui puisse être dit. C'était quand même assez impressionnant que le monstre n'en vienne pas à la force, sachant dans quel état était sa camarade, mais Hibiki ne jugeait pas vraiment ça comme une qualité. Le pacifisme, pour lui, c'était stupide et ça augmentait le méprit qu'il pouvait ressentir envers les monstres encore plus. Enfin, pour le moment, il devait jouer son rôle, et essayer de parler entre deux sanglots.

" - J-J'ai peeur... "

Toriel toujours a terre avait du bien vite abandonner la lutte, ben qu'elle aurai pu utiliser ses pouvoirs pour se sortir de ce mauvais pas, mais cela n'aurait fait que confirmer les craintes de ces humains et cette fis ci, ils auraient de bonnes raison d'en venir aux mains. Sentent que l'humain n'était pas prêt de lacher prise, Toriel regarda Papyrus et lui doit avec fermeté:

- Papyrus, sauve toi !  Jamais ils ne nous croirons !

Elle avait en effet plus de crainte pour la sécurité de son ami squelette que pour elle même, l'homme finirai bien par la lâcher si elle restait pendant un certain temps sans bouger... Tel qu'elle était positioner, elle pouvait voire la lueur victorieuse dans les yeux du garçon qui était visiblement un très bon comédien, surtout pour ce qui était des larmes de crocodiles.

La femme qui s'en occupait était parfaitement tombée dans le panneau, le serrait je jeune contre elle  pour le rassurer, lui tendant un mouchoir

- Aller mon garçon, ce n'est qu'une grosse bête et un sac d'os qui parlent,  tu pourrai les tuer avec une petite cuillère... Ils ont trop peur pour utiliser leurs magie! Ils savent parfaitement qu'a nous deux on leurs fait leurs fêtes. tu veux qu'on appel tes parents ?

cela semblait être  de la provocation, elle se disait qu'avec un peu de chance, l'un des deux monstres passerait a l'attaque et ils pourraient alors avoir la preuve que les montres étaient dangereux et obtiendraient gain de cause aux yeux des autorités

- Papyrus, sauve toi !  Jamais ils ne nous croirons !

- Aller mon garçon, ce n'est qu'une grosse bête et un sac d'os qui parlent,  tu pourrai les tuer avec une petite cuillère... Ils ont trop peur pour utiliser leurs magie! Ils savent parfaitement qu'a nous deux on leurs fait leurs fêtes. tu veux qu'on appel tes parents ?

NOUS TUEZ? MAIS VOUS ETES GLAUQUE VOUS, DEPUIS QUAND ON PARLE DE TUER COMME SI DE RIEN ETAIT CHEZ VOUS? ENFIN BREF, JE VOUS RECOMMANDE DE LACHER MON AMIS, NON PAS QUE JE VAIS EXTIRPER DE VOTRE ENVELOPPE CORPOREL VOTRE AME, MAIS PLUTOT QUE JE VAIS REUSSIR A SE QUE VOUS LA LACHIEZ SANS UTILISER LA VIOLENCE.

Il avait sa petite stratégie en tète pour réussir a prendre l'avantage sur eux: la physiologie inversé, sa marchait bien avec Sans pour lui faire accomplir certaine tache sans mème qu'il se rend compte (seul sa chaussette a résister a la technique) Ça pouvait marcher avec eu a condition qu'il était un peu simplets et fanatique dans leur idée.

Hibiki hochait lentement la tête, adhérant au propos de la dame... Ou à ceux de Toriel, va savoir. Il sembla s'être suffisamment calmé pour se décoller un peu de la dame, et même jeter un regard aux monstres. Cette dame proposait d'appeler ses parents, mais il n'avait pas envie de repartir, déjà, il voulait voir comment cette situation finirai. Est-ce que le squelette finira par craquer pour libérer son amie, l'écoutera t-elle ou est-ce qu'il sera capable de faire usage d'intelligence ? Il ne pouvait pas déjà partir, encore moins en appelant ses parents.

" - Papa et Maman travaille, ils ne répondront pas... "

C'était un semi-mensonge, alors ce n'était pas trop grave, si ? Il regardait Papyrus avec une expression indéchiffrable, un peu pensif... Mais en réalité juste curieux de savoir sa fameuse solution pacifique qu'il semble avoir trouvée.

Aux paroles de papyrus, l'homme et la femme éclatèrent d'un gros rires moqueurs, l'homme relacha alors un peu sa prise et Toriel pu se dégager, le faisant basculer sur le coté. Craignant qu'il ne se soit fait mal dans sa chute, elle le regarda un oinstant et soupira en voyant que celui ci se tenait toujours au sol, prit du même fou rire

- Ca va le squelette  écervelé, j'lui ait pas fait mal a ta biquette !  Pourquoi vous retournez pas juste dans votre trou ? des bêtes de foire n'ont pas leurs place dans une société civilisée comme la notre!

Toriel soupira et s'approcha de l'homme et de la femme qui était toujours en train de consoler Hibiki:

- mais nous sommes un peuple civilisé, vous le sauriez si vous faisiez au moins l'effort de chercher a nous connaitre. Je ne sais pas ce qu'on vous a raconter a notre sujet, mais beaucoup de vieilles rumeurs sont fausses, en particulier celles datant de la guerre

La femme l'ignora royalement et répondit au jeune homme

- alors dis moi, qu'est-ce que tu veux faire ?  Il ne vaut mieux pas que tu reste seule avec ces deux énergumènes...

- Ca va le squelette  écervelé, j'lui ait pas fait mal a ta biquette !  Pourquoi vous retournez pas juste dans votre trou ? des bêtes de foire n'ont pas leurs place dans une société civilisée comme la notre!

- mais nous sommes un peuple civilisé, vous le sauriez si vous faisiez au moins l'effort de chercher a nous connaitre. Je ne sais pas ce qu'on vous a raconter a notre sujet, mais beaucoup de vieilles rumeurs sont fausses, en particulier celles datant de la guerre

- alors dis moi, qu'est-ce que tu veux faire ?  Il ne vaut mieux pas que tu reste seule avec ces deux énergumènes...


MONSIEUR, JE CROIS QUE VOUS MANQUER DE RESPECT ANVERS MON AMIES ET MÊME A NOTRE PEUPLE TOUT ENTIER, ET JE NE PEUT VOUS DIRE QUE MON HONNEUR ET LE SIENS NE PEUT ETRE LAVÉ QUE DANS UN DUEL ENTRE NOUS DEUX, C'EST UNE MANIÈRE "CIVILISÉ" DE CHEZ VOUS POUR RÉSOUDRE UN CONFLIT.

Et il enleva son gants avant de le jeter sur l'homme, comme dans un Bd qu'il avait lu, la sois l'homme acceptait, sois il partait et passais pour un couard devant Papyrus.

A MOINS QUE VOUS N'AYEZ RIEN DE PLUS QUE DES PAROLES A NOUS MONTRER...

Hibiki se rapprocha encore plus de la femme en voyant Toriel s'approché, jetant des regards noirs au monstre. Enfin, jusqu'à ce que Papyrus attire son attention en reprenant la parole. Il voulait... Un duel ? Ce squelette devait probablement se prendre pour un chevalier ou un truc du genre, mais du point de vue d'Hibiki ce genre de discours était bien trop clichés pour qu'il le prenne au sérieux. Cela rendait dure la tâche de garder son calme sans exploser de rire -comme le couple juste avant-, et encore plus celle de répondre sérieusement à la dame après ça.

" - ... "

Il priait, priait très fort que l'homme prenne ce "duel" au sérieux, et qu'il ridiculise ce squelette bien comme il faut. Qu'il le remette à la place ! Mais il ne pouvait pas laisser voir ça, il devait jouer le rôle de la victime pour l'instant...

Le monsieur qui bien entendu transpirait la finesse et l'intelligence grogna et attrappa le gant qu'il balanca sur papyrus, avant d'avencer sur ce dernier en se craquant les doigts:

- Aller viens par la le sac d'os, on va voire qui c'est le plus fort !

Toriel les regarde, assez inquiète pour Papyrus. Elle était bien sure prête a lui venir en aide si ca tournait mal, et elle le ferai dans tout les cas, mais elle aurait préféré que les deux humains s'en aille pour aller s'occuper de leurs affaires. La dame recula un peu, s'éloignant du duel de rue en emmenant Hibiki avec elle pour regarder en restant a distance

- On ne sait jamais avec les monstres, ils sont dangereux avec leurs attaques magique. Il ne faudrai pas qu'on en subisse les consequence si ce grand benêt de squelette loupe son attaque... Gill va lui régler son compte  

Toriel finit par regarder papyrus en disant calmement:

- on devrais les laisser, ils n'en valent vraiment pas la peine...

- Aller viens par la le sac d'os, on va voire qui c'est le plus fort !

Papyrus eu un fou rire, un rire plutôt cinglé pour sa part, un rire comme si il allait prendre plaisir a lui arracher ses os un par un, il fit apparaitre deux os long comme deux grand bâton, et le lance de sorte que l'humain s'en serve comme arme.

VOUS ETES PRÈTS J'ESPÈRE? ALORS ALLONS-Y!


Il fit tournoyer le siens et commence a porter un coup sur l'os de son adversaire, juste pour faire résonner ses bras bloquant le coup, il se rendait compte maintenant de la force de Papyrus, il enchaina en continuant les petits coup, histoire que l'humain ne prenne pas l'avantage et l'initiative sur le combat.

Cinq minutes qu'il avait continuer d'attaquer, finalement, il lui fit un coup sur la main, l'os s'échappa de sa prise et atterrit dans l'autre mains de Papyrus, les deux armes disparurent et papyrus dit d'une voix triomphante.

J'AURAIS PENSER A PLUS DE CHALLENGE, C'ÉTAIT AMUSANT, MAIS JE N'AIT PAS QUE CA A FAIRE.

Il se retourna vers Toriel et lui dit d'un sourire rassurant dont il a le secret.

CETTE FOIS, ON PEUT S'EN ARRETER LA MA REINE, JE SUIS SUR QU'IL ONT COMPRIS QU'ONT SAVAIT SE DÉFENDRE ET QUE UN "MALHEUREUX COUP" NE NOUS TUE PAS SUR LE CHAMPS (ENFIN,SANS EST UNE EXCEPTION).